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Le marché du septième art  Bukavien  va s’enrichir d’une nouvelle œuvre. Il s’agit de la série « Kinvuli» en Français ombre. Un projet porté par le réalisateur  Abelo Kamarashavu.

Conçue il y a de cela trois ans,  cette œuvre marque la renaissance des  productions longs métrages. Prévu pour le grand public, ce projet contient une frange des métiers pratiqués  dans le Cinéma.

Des projets pour relever le cinéma local

Les productions des longs métrages locaux deviennent rares. Le cout de sa réalisation contraint  des artistes à faire usage des courts métrages. Cette situation a rendu le marché du cinéma moins attrayant.  Soucieux de rendre au cinéma sa lettre de noblesse, Abello Kamarashavu annonce la venue de la série Kinvuli. 

 « Après plusieurs tentative sans succès, il  est temps de laisser place à des projets du genre. Cette série vient révolutionner la réalisation des œuvres locales. Et cela, avec une histoire bien accommodée, une technique adéquate ainsi que l’interprétation des rôles des acteurs adapté  », explique ce réalisateur.

Les jeunes talents valorisés

Le cinéma et ses métiers reste le domaine artistique demandant le concours de plusieurs. L’envie recherchée par plusieurs est de donner au cinéma une assise prometteuse. Une envie enrichissante exprimée  par  des talents qui cherchent le bout du tunnel pour leur mise en lumière.

« Nous avons remarqué qu’une évolution solitaire n’aide pas à progresser. Bukavu regorgent plusieurs talents qui sont souvent ignorés. La série Kinvuli offre un espace de découverte de plusieurs talents émergents dans le cinéma local », souligne Abello Abello Kamarshavu est aussi auteur des plusieurs films a l’instar d’Abattoir et a joué comme acteur dans plusieurs réalisations cinématographiques Bukaviennes.

Christian BUZANGU

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